Voici, par excellence, l'arme de destruction massive
CORSAIRES & BOUCANS

Le tout dernier modèle de missile interplanétaire, sortant tout droit de nos têtes pensantes, ainsi que de la plus grosse usine de nanite jamais construite...











Beaucoup s'en rappelleront, en pensant â un objet phallique à usage complètement différent...




Ce missile est l'amélioration la plus poussée du missile interplanétaire que l'on trouve couramment sur beaucoup de planètes.
Beaucoup de points techniques ont été modifié, et surtout innové.






Nos chercheurs ont un triste constat, les missiles normaux consomment 9/10 du carburant embarqué lorsqu'ils se trouvent dans l'atmosphère de nos planètes, essentiellement à cause des frottements (lors du décollage, et de la pénétration dans l'atmosphère pendant l'attaque)

La force gravitationnelle étant donnée par la relation :



Avec :

• G la constante gravitationnelle
• M_A la masse du missile
• M_B la masse de la planète
• d la distance entre le missile et le centre de la planète

La force que doit exercer le propulseur doit être supérieur aux forces d’attractions planétaires (ou gravitationnelles) et frottements, pour que le missile puisse décoller.

Les chercheurs ont donc repensé complètement le système de propulsion des missiles. Le système de propulsion par tuyères a été conservé, puis a été ajouté un nozzle afin de pouvoir contrôler la poussé des propulseurs.



Après quelques essais convainquants avec ce système de propulsion, la consommation des missiles est tombé à 8/10, chargé.
Hélas pas suffisant pour nos chercheurs...






Puis vient la course au poids (pas à la masse...), partie aussi d'un constat... Les missiles consomment moins sans la charge nucléaire, donc avec une réduction du poids.



Plus la masse du missile est faible, plus la force de poussé nécessaire sera petite, réduisant alors la consommation.

Des matériaux légers ont donc été utilisés. On prendra pour exemple le nozzle en alliage de titane, de matière plastique courant pour la vitre fermant le compartiment étanche de réglage des cibles. Les têtes nucléaires courantes ont été remplacées par des têtes thermonucléaire, l'hydrogène étant beaucoup plus léger que l'uranium enrichi (bien que celui ci se révèle nécessaire dans l'amorçage de la réaction de fusion entre les atomes de deutérium et de tritium). La consommation est alors passée à 7.5/10 dans l'atmosphère, plutôt acceptable.






De nouvelles molécules ont été fabriquées, à partir d'hydrogène, permettant alors de développer des carburants plus performants, augmentant malheureusement la chaleur au sein du réacteur et de la tuyère. Une céramique haute résistance calorifique a donc été utilisée pour la construction de ces derniers. Ces carburants gazeux sont conservés à l’état liquide dans les réservoirs, puis décompressé et injecté à très grande vitesse dans la chambre de combustion du réacteur, permettant d’avoir une poussé phénoménale.

La consommation est alors passée à 7/10 en atmosphère.






En gardant les mêmes tailles des réservoirs d'origines, (les coûts des recherches et des développements ont pu être réduit sensiblement) la quantité de carburant restant est alors utilisable dans le vide, pouvant ainsi jouer sur la porté et sur la vitesse de nos nouveaux missiles.

Enfin, ce gain de vitesse étant plutôt très important, les missiles avaient tendance à chauffer, se détériorer, et finissaient par se désintégrer.

Des particulofreins, eux aussi en alliage de titane, ont donc été installés sur les ailettes de direction du missiles, ralentissant alors la vitesse de celui dernier en approchant de l'orbite de la planète, toujours chargé en particules, débris quelconques, et autres satellites.

Mais ces particulofreins ont aussi un deuxième usage: dans l'atmosphère, ils s'ouvrent légèrement pour donner au missile un mouvement de rotation, accentué par la poussé du propulseur. La vitesse du missile est alors augmentée (comparable à la balle d'un fusil de nos ancêtres) permettant alors de mieux échapper au missile d'interception lancés depuis le sol.









Après un très grand nombre de tests effectués, nos chercheurs ont commencés à répandre petit à petit ce tout nouveau modèle de missile, afin d'observer leur comportement générale en utilisation normale.
Les observations et analyses des données enregistrées sont plus que convaincantes, aussi bien sur le domaine de la consommation, donc de la porté, mais aussi sur le domaine de la fiabilité.

Vidéo prise sur une base de lancement, lors d'un test de décollage.




Ce tout nouveau modèle de missile interplanétaire est maintenant disponible partout dans l'univers, en vente libre dans le silo du coin.